Chapitre 1 - Nouveau départ

[BILT(zefred)]

Quelque part au sud.

C'est une belle journée à Beacon City. Le ciel bleu sans nuages ​​plane sur les habitants qui continuent leurs petites vies tranquilles depuis la fin de l'ère glaciaire. Sur les écrans de télévision dans les vitrines des magasins de toute la ville, les nouvelles de 12 heures sont diffusées. Les présentateurs rapportent une autre disparition d'une icône bien connue des arts martiaux du nom de Ken Man.

Au fur et à mesure que les habitants vaquent à leur occupations, un cri de surprise retentit dans la foule. L'attention est attirée vers le ciel où il semble qu'un météore file droit vers la terre.

***

Cela faisait maintenant un peu plus d’un an que Pazulu avait commencé son entraînement. Gorira était un professeur très exigeant ; chaque matin ils se levaient à l’aube au temple Monki Jiin et revenaient le soir bien après le couché du soleil. Maïko, la mère de Pazulu, ne le voyait que rarement depuis que le maître gorille l'avait pris son son aile.
Pour enseigner son art du combat, Gorira avait choisi un endroit à l’écart de toute population encore restante, loin dans les montagnes. Le soleil se couchait sur l'horizon, après une dure journée d'efforts pour les quatre comparses désormais inséparables qu'étaient Pazulu, Marco, Roni et Makira.

C'est donc de très loin que Pazulu et ses amis remarquent cette drôle d'étoile filante se diriger vers le sol, à l'horizon.

[Pazulu(Oni)]

Loin de tout, un peu fourbu de cette journée d'entraînement, j'observe avec attention cette météorite tomber sur notre sol, très intrigué par cette dernière. Il est vraiment rare de voir ce genre de chose ce qui est vraiment intéressant, surtout que dans le coin nous n'avons pas beaucoup d'animation. Une fois cela fait, je regarde mes camarades les yeux pétillants de curiosité.

Ça ne vous tente pas d'aller voir ce qui est tombé du ciel vous ? Vous pensez que maître Gorira pourrait nous y emmener ?

[BILT(zefred)]

C'est ainsi que l'histoire commence.
Les 4 disciples se retrouvent à l'intérieur du temple Monki Jiin, ou Maître Gorira se livre à ses exercices de méditation dans la salle su silence. L'endroit est décorée de façon baroque avec toutes sortes de statues, statuettes et effigies de primates, dont certaines sont un peu effrayantes tout de même. Ou en tous cas ont toujours imposé un silence respectueux ou prudent à Pazulu et ses amis.

Alors qu'ils gravissent les marches du temple, le maître en sort, d'un pas décidé, et avant qu'ils ne lui adressent la parole, semble observer le ciel avec gravité, l'étoile filante disparaissant derrière un col de montagne lointain, avec un bref halo de lumière.

 Marco, Roni et Makira se mettent à parler tout bas, comme les enfants et adolescents qu'ils sont, et soucieux de montrer du respect à leur maître.

"Ah ! C'est bien la première fois que je le vois comme ça, maître Gorira" s'étonne doucement Roni, l'anthropomorphe Renard.

"Oui, d'habitude le maître est toujours enthousiaste" ajoute Marco, le loup bipède.

"Attendez! chut, je crois qu'il va dire quelque chose" s'empresse Makira de sa petite voix de chauve-souris.

Le maître gorille pose enfin son regard sur ses disciples, et sa tête simiesque se fend enfin du sourire joyeux habituel qu'ils lui connaissent.
"Ah ! mes disciples, vous voilà ! Demain, j'ai décidé de partir en voyage quelques jours. Aussi je vous confie le temple, ou bien vous pouvez retourner voir vos familles. Tachez de bien terminer vos exercices et de nettoyer la salle d'entrainement, et vos chambres."

Puis il se tourne vers Pazulu et ajoute " Je pense que ta maman sera contente de te revoir" dit-il, en hochant la tête et pointant du doigt la direction du village en contrebas, mais aussi le col de montagne où l'étoile filante est tombée.

[Pazulu(Oni)]

C'est avec amusement que nous remontons vers le temple, nos rires s'amenuisant tout de même en y approchant, par respect et par habitude.

Tout comme mes camarades, je n'ai pas l'habitude de voir notre maître aussi préoccupé et je n'ai pas le temps de m'immiscer dans la conversation que ce dernier nous parle de voyage. Regardant ou pointe le doigt de sa main, je ne pense pas vraiment à mon village mais plus à cette météorite.
Mon regard se fait néanmoins interrogatif lorsque je répond à mon maître.

Maître ! Nous pourrions vous accompagner dans votre voyage ? Ca pourrait être amusant et instructif ! Nous ferions des exercices en chemin et on pourrait vous aider si vous avez besoin !

<pense:>Ou sinon je pourrais partir moi même en voyage derrière ses montagnes pour voir la météorite et passer voir ma mère et mes grands parents en chemin.

[BILT(zefred)]

Gorira ébouriffe la tignasse de son jeune disciple avec son sourire simiesque, et décline.

"Non, Pazulu. Ce voyage je dois le faire seul. Je partirai dès demain de mon côté. Je n'en ai pas pour longtemps. une dizaine de jours tout au plus. Quant à toi, veille à bien réaliser tous tes exercices quotidiens. Et souviens-toi, la nuit est faite pour dormir, et non pour contempler la lune." ajoute-t-il avec emphase, comme une leçon bien apprise par Pazulu.

Ce soir là, les amis de Pazulu discutent de ce qu'ils vont faire de leur temps libre. Mais Pazulu est perdu dans ses pensées et il les entends à peine lorsqu'ils lui demandent ce qu'il va faire.
Son imagination portée vers la météorite, et aussi vers ces étranges paroles de son maître.
Alors que Roni, Makira et Marco sont endormis, et ronflent de bon cœur dans le dortoir commun, Pazulu se tourne et retourne dans son lit, peinant à trouver le sommeil.

[Pazulu(Oni)]

J'ai une mou de déception lorsque mon maître m'éconduit, même si je comprends qu'il préfère voyager seul et ne pas s'encombrer d'enfant. Il a déjà fort à faire avec nous le reste du temps, je lui réponds donc non sans une légère frustration et aussi incompréhension vis à vis de la lune. J'ai toujours pris ça pour une expression pour ne pas rester à ne rien faire et être dans la lune mais pourquoi me le répéte t il tant de fois ?
Oui maître.

Mon regard se perds vers mon village et aussi vers les montagnes non loin derrière...que faire...j'en oublie même de discuter avec mes amis.
Et ces questions continues de perturber mon sommeil, je me tourne et retourne sur mon futon, je m'enroule et me déroule dans ma couette.
Non pas possible, aucun moyen de dormir. Je décide de me lever pour aller à la salle d'exercice, persuadé que bien fatigué le sommeil finirai par me gagner.

[BILT(zefred)]

De sauts périlleux, en enchainements martiaux, Pazulu s'applique à tester et répéter inlassablement les techniques acrobatiques et puissantes de Gorira. Le maître ayant toujours insisté pour que ses disciples soient capables de maintenir un rythme élevé même après une journée d'entrainement dans les montagnes.
Ses poings fendent l'air, et il porte des coups de pieds circulaires, visant adversaires invisibles et cibles en hauteur, se propulsant de murs en murs.
Finalement, satisfait et fourbu, il s'arrête et appuie ses mains sur ses genoux pour souffler un peu. Relevant la tête, il regarde les statues simiesques à la lueur des étoiles, et quelque chose attire son attention. Quelque chose qu'il n'avait jamais vu auparavant.

Un éclat dans la gueule semi ouverte de la grande statue de primate qui orne le mur principal. Peut être un oiseau a-t-il fait son nid dans le temple, ou bien s'agit-il d'autre chose?
Il ne s'agirait pas d'abimer la statue... Et la gueule est trop haute pour y sauter aisément sans atterrir en contrebas sur les autres statues de glaise et de pierre, et risquer de les casser.

[Pazulu(Oni)]

Décidément pas de chance, j'ai beau avoir repris l'entraînement mais toujours pas de sommeil, juste de la fatigue. Alors que je me repose mon attention est attiré par une étrange lueure dans la gueule du gros singe tout en haut. De jour jamais je n'avais aperçu cet éclat...un rapide coup d'oeil et une approximation de la hauteur pour me dire que sauter là haut ne serait pas une bonne idée, une mou de désapprobation se forme sur mon visage.

<pense:>Reflechissons, je pourrais me construire de grande échasses comme les oiseaux du marée...non je ne saurais pas construire ça.

Un éclair de génie vient illuminer mes yeux.

<pense:>Mais oui, c'est ça, je vais ramener la table, les banc et les chaises pour faire une pyramide jusqu'en haut !

Aussitôt pensé je file dans notre salle à manger pour y faire les aller retours afin de mettre en application ma super idée.

[BILT(zefred)]

Le petit édifice de tables, chaises et tabourets monté, Pazulu l'escalade avec précaution, et se rend compte que le tout brinqueballe et tangue dangereusement. Il s'approche précautionneusement de la gueule de la statue, et glisse sa main à l'intérieur et se met à tâtonner.

Il pose la main sur une sorte de boite en bois, qu'il retire de la gueule du dieu singe, et découvre une cassette de bois laqué et ornementée. En l'agitant près de son oreille, il se rend compte qu'elle contient quelque chose ... La curiosité l'emportant, il actionne le clapet, et découvre à l'intérieur une drôle de sphère orange de la taille d'un poing, marquée de deux étoiles rouges. L'objet reflète la lumière chiche des étoiles, et semble carillonner et tinter une seule fois alors qu'il pose son regard dessus.

L'instant d'après, une voix résonne dans la salle, le faisant sursauter, et il perd l'équilibre, s'écrasant au sol dans un fracas de tables et de chaises, qui lui retombent dessus. Aïe !

La forme sombre de maître Gorira se penche alors vers lui, l'air mécontent !

[Pazulu(Oni)]

Opération curiosité assouvi accompli, même si je ne sais pas vraiment ce qu'est que cette étrange boule orange avec deux étoiles rouges à l'intérieur. Ceci aurait pu être un grand succès si je n'avais pas été surpris par une voix roc me faisant perdre mon équilibre si durement acquis - bel exercice - et entrainant ma chute dans un fracas de bois.
Aïe
Je me frotte le crâne dont je bouge le banc posé sans délicatesse dessus et me demande ce qui me fera le plus mal, cette chute ou les réprimandes de mon maître.
Un peu contrit, je tends la boule que j'ai gardé en main durant toute ma chute à mon maître tout en me relevant.
Puis, avec ma voix enfantine pleine d'insouciance je m'adresse à ce qui semble être Gorira.
Maître, j'ai trouvé ça dans la gueule du grand singe, vous savez ce que c'est ?

[BILT(zefred)]

Le maître simiesque semble mécontent quelques secondes, puis soupire, et se gratte l'arrière de la tête, comme en pleine décision.
Il finit par sourire à Pazulu, visiblement sa colère passée, et sa bonhommie habituelle de retour.

Ca, mon jeune disciple, c'est une boule du Dragon. Vois-tu, cet objet est très ancien. On dit qu'il remonte avant même l'ère glaciaire. Mais plus personne n'en avait vu depuis des éons. Et un jour, un homme est venu ici au temple Monki Jiin. Il l'a remis à mon vieux maître d'alors, Po, et lorsque j'ai repris le temple et ai décidé d'enseigner, il m'a fait promettre de conserver cette boule de cristal à l'abri, et de la cacher. C'est pour cela que je dois partir demain. Je veux en savoir d'avantage. Mais il y a une chose que tu dois savoir, Pazulu: c'est que c'est ton père, Piros, qui avait apporté cette boule du Dragon à maître Po. En quelques sortes, et même si tu n'étais pas encore né à l'époque, c'est un peu ton héritage aussi. Maintenant, va te coucher, et tache de dormir un peu. Et garde toujours tes yeux sur l'horizon, jamais vers la lune ! Le maître congédie Pazulu, lui répétant ce mantra précieux, et le projetant probablement dans une certaine perplexité.

[Pazulu(Oni)]

Je suis bien heureux de revoir le sourire du maître, lorsqu'il prends son air fâché il fait vraiment peur.
Je ne peux m'empêcher de lâcher un wahou lorsqu'il me parle de cette boule de Dragon et réfrène mes questions à son sujet. Surtout qu'apparemment le Maître s'absente pour en savoir plus à son sujet, il n'aurait probablement pas les réponses à mes questions. Tans pis, je les poserai à son retour. Mes yeux brillent lorsqu'il me parle de mon père, ce dernier est partis bien trop tôt pour que je me souvienne de lui mais ma mère m'a dit qu'il était brave et qu'il est parti pour nous protéger.
Je lui rends la boule du Dragon, salue mon maître Bien maître et file retourner dans notre dortoir suivant ses indications à la lettre. J'ai déjà fait une grosse bêtise autant ne pas en rajouter pour cette nuit en lui désobéissant une autre fois.
Néanmoins, une foule de questions viennent encore défiler dans ma tête...j'espère que ça ne va pas continuer à m'empêcher de dormir.

[BILT(zefred)]

Le soleil est déjà haut dans le ciel, lorsque Pazulu est réveillé par Makira, qui le secoue doucement à l'épaule. Roni et Marco sont là aussi, déjà prêts, avec leurs sacs à dos sur les épaules.

Debout fainéant ! Tu as dormi si longtemps que tu as raté le petit déjeuner. Nous t'avons laissé te reposer, mais maintenant nous nous mettons en route vers nos familles. On se retrouve dans quelques jours. Maître Gorira est déjà parti.

Pazulu se frotte les yeux, et le filet de bave qui lui coulait de la commissure des lèvres. Il est reposé, mais il a clairement trop dormi. Ses amis ont fait tout le travail de nettoyage du dortoir sans lui. Et il lui reste à se mettre en route. A moins qu'il n'ait d'autres idées en tête.

[Pazulu(Oni)]

Le sommeil a fini par me vaincre ou alors c'est moi qui l'ait vaincu...peut importe, j'ai bien dormi et même trop. Je n'ai même pas entendu mes camarades faire le ménage et à cause de moi ils ont du en avoir plus au vu du tas de meubles que j'ai laissé en bas de la statue.
Mon ventre grogne lorsque Makira parle de petit déjeuner et je suis un peu déçu de ne pas avoir pu dire au revoir à notre maître. Mais au moins, je peux le faire pour mes amis, je m'étire rapidement avant de me relever et de les accompagner jusqu'à la sortie du temple, le bras droit tendu et fendant l'air tout en leur criant quelques paroles, le sourire aux lèvres.

Au revoir les amis ! On se revoit dans quelques jours ! Faites un bon voyage !

Puis je retourne dans le dortoir pour faire mon sac à mon tour afin de prendre la route. En sortant, je salue le temple avant de partir en courant en direction du village. Je compte bien passer une journée avec ma famille et récupérer quelques vivres pour mon expédition vers cette météorite le lendemain.

[BILT(zefred)]

Au pas de gymnastique Pazulu découvre avec joie les magnifiques paysages de la montagne, et ses chemins tortueux qui descendent vers la vallée. Le soleil tape suffisamment pour qu'il ait rapidement chaud, et c'est avec un bon rythme qu'il descend le chemin de chèvres qui le conduiront à son village et sa famille.
Le sol peut rapidement être traitre en montagne et il sait qu'il doit être prudent, mais la joie de revoir sa mère le porte à prendre des risques contrôlés.

Cependant, alors qu'il courre sur le sentier, un bloc de roche se détache du flanc de la montagne en surplomb du chemin.

Test d'Evasion SD 2 pour l'éviter.

[Pazulu(Oni)]

Evasion

Lance 3d10, en relançant tout résultat égal ou supérieur à 10 et en considérant les 1 commes des échec. (1 succès enlevés)

1, 8, 4

Il y a eu 0 succés en lançant chaque dé contre une valeur cible de 6.

Edit : ma lose aux dés est aussi présente ici

[BILT(zefred)]

Le rocher dévale la paroi, et impacte le pauvre Pazulu (15 points de dommages, ce qui est réduit par TE + De, soit 11 points au total et une Fatigue) en plein sur le dessus du crâne, le stoppant net, avec les dents serrées, et de grosses larmes qui jaillissent de ses yeux, les bras contractés sous le choc. la pierre se fend et glisse dans le précipice, tandis qu'une énorme bosse jaillit sur sa tête, et qu'il se trouve déséquilibré à son tour, et tombe à la renverse sur le sentier. Les yeux en croix, il voit des poussins jaunes lui tourner dans le champ de vision, et une grosse silhouette orangée, et portant des bottes se dégage de la paroi adjacente.



Visiblement satisfait de lui, le bandit anthropomorphe s'approche du garçon, son cimeterre à la main et d'une voix ronflante déclame :

Ce petit imbécile n'a rien vu venir. Je vais pouvoir le dépouiller, et laisser son cadavre aux bêtes sauvages. Ca lui apprendra à faire la route seul, à cet idiot.

Il se met à délester Pazulu de sa besace, et se tourne pour fouiller dedans, ne se rendant pas compte que notre jeune héros est juste sonné. Et qu'il va se réveiller, avec un monstrueux mal de crâne et un œuf de pigeon.

[Pazulu(Oni)]

Ma chute d'hier soir était une parti de plaisir par rapport à celle de ce rocher sur mon crâne.

Une fois mes esprits reprit, je me frotte le crâne en me relevant et constater qu'une personne s'intéresse à mon sac.

Ouille ouille ouille ! Vraiment pas de chance de me prendre une chute de pierre sur la tête moi. Monsieur, c'est très gentil à vous de ramasser mon sac mais je peux le faire moi même rassurez vous.

J'ai un large sourire envers mon nouveau camarade de randonnée qui étrangement, s'intéresse plus à mon sac qu'à moi.

[BILT(zefred)]

Le malabar fait des yeux de hiboux au son de la voix de Pazulu, yeux qui d'ailleurs jaillissent presque de leurs orbites. Il tourne la tête, lentement, et par-dessus son épaule, et avec une voix un peu chevrotante, dit :

Mais.. Mais.. tu es en vie?! Bah c'est pas croyable ça! Qu'est-ce que tu racontes morveux ? Tu ne voies pas que je suis un dangereux bandit, et que je te vole ton sac non ?! Tu ferais mieux de déguerpir. Tu as eu de la chance de ne pas te faire écrabouiller par ce rocher.

il se tourne à moitié, brandissant son cimeterre, et tenant la besace de notre héros dans son autre large patte griffue.

[Pazulu(Oni)]

Mes yeux se froncent et je me mets en garde une fois que j'apprends qu'il s'agit d'un affreux bandit.

Les bandits sont mauvais, tu vas me rendre mon sac tout de suite!

Ce malotru brandissant son arme j'en déduis qu'il veut se battre. Tant mieux, ça me fera un peu d'exercice.

Initiative

Lance 2d10, en relançant tout résultat égal ou supérieur à 10 et en considérant les 1 commes des échec. (0 succès enlevés)

7, 8

Il y a eu 2 succés en lançant chaque dé contre une valeur cible de 6.

[BILT(zefred)]

C'est ça, compte là-dessus ! Je vais te découper en petits morceaux, espèce d'avorton! réplique le bandit qui a fini de se tourner et s'apprête à tailler Pazulu en deux avec sa grande lame. il a l'air pataud et lent, mais aussi un peu costaud. Son cimeterre s'abat sur notre jeune héros, qui peut être pourra réagir avant.

Initiative :

Lance 1d10, en relançant tout résultat égal ou supérieur à 10 et en considérant les 1 commes des échec. (0 succès enlevés)

3

Il y a eu 0 succés en lançant chaque dé contre une valeur cible de 6.

Le bandit tentera une attaque simple s'il agit le premier. Auquel cas Pazulu peut déclencher une action de réaction d'Evasion ou de Parade. Dans le cas contraire, tu peux décrire ton action.

[Pazulu(Oni)]

J'ai eu bien raison de me mettre en garde, comme il semble bien déterminé à me couper en deux avec sa grosse épée je n'ai pas besoin de retenir mes coups.
Je profite de l'ouverture qu'il m'offre en levant son bras pour lui asséner un gros coup de poing dans le ventre. Il a l'air nettement plus lourdeau que notre maître et mes compagnons, cela ne devrait pas me poser de problème.

<hurle:>Yaha !

Art martiaux avec déjà un succès.

Lance 10d10, en relançant tout résultat égal ou supérieur à 10 et en considérant les 1 commes des échec. (3 succès enlevés)

1, 2, 9, (10,10,1), 7, 3, 2, 1, 6, 3

Il y a eu 2 succés en lançant chaque dé contre une valeur cible de 6.

Dommages : 4x4 + 3 + nombre de succès = 19 + 3 = 22 si il ne tente pas une réaction pour éviter/parer ou bloquer le coup.

[BILT(zefred)]

Le poing de notre jeune héros s'enfonce dans la bedaine du bandit, au poing que sa gueule s'ouvre, les yeux exorbités, et plein de larmes, et après une brève seconde où ses orteils quittent le sol, il s'envole en arrière et lâchant la besace de Pazulu, s'envole projeté en contrebas vers le torrent de montagne, les yeux en croix.

Pazulu le regarde tomber et disparaître dans le courant, penché au-dessus du vide. Fort de cette victoire, et avec le sentiment du devoir accompli, il reprend sa route vers son village natal.

Le bandit A TE 2 et DE 1; il prend donc un recul important (8 +3 - (2+1+1) = 7 unités. Le poing lui inflige 21-3 = 18 PV; le recul 4x5 = 35 PV.



Il est déjà midi passé depuis longtemps, lorsque Pazulu entre dans son village, et la bonne odeur des repas préparés par les familles flotte dans l'air, faisant gronder son estomac. Il sait que sa maman aura toujours un bon repas, bien copieux pour son fils adoré, et est bien content de la revoir tout de même.

---

A des lieux de là, une étrange paire de jambes métalliques arpente les chemins rocailleux des montagnes, d'un pas rythmé et soutenu, tandis qu'un bip bip se fait entendre. Le soleil se reflète sur une carcasse oblongue et des chiffres et données apparaissent dans le champ de vision de cet étranger. Mais pour l'heure, et pour Pazulu, c'est l'heure de retrouver sa famille !

[Pazulu(Oni)]

Je regarde le bandit s'envoler puis mon poing, un peu surpris du résultat.

Oh mince, je ne pensais pas qu'il serait projeté si loin.

Visiblement, mon entraînement auprès de maître Gorira me fut bien bénéfique, un sourire de fierté vient se dessiner sur mon visage. Et c'est avec ce même sourire que je ramasse mon baluchon pour reprendre la route de ma maison.
J'ai tellement de chose à raconter à ma mère et mes grands parents que je ne saurai par quoi commencer.

C'est avec le grognement de mon estomac que j'arrive à la porte du village, certainement du à toutes ses bonnes odeurs qui sont présentent dans l'air. Après un court arrêt, je m'élance à grande vitesse pour rentrer à la maison. Criant à grande joie. Maman ! Grand père ! Grand mère ! Je suis là ! Et venant faire un câlin à ma douce maman.

[BILT(zefred)]

C'est avec joie et surprise que Fuba, la mère de Pazulu,

et ses grands parents pépé To, et mamie Go accueillent notre jeune héros. Comme à l'accoutumée, Fuba qui a préparé un repas classique, se remet aux fourneaux, connaissant l'appétit d'ogre de son fils. Pazulu englouti bol après bol, les grains de riz volants, et les assiettes s'empilant. Son appétit a toujours été sidérant pour tous ceux qui le connaissent, mais pour sa maman et ses grands parents, c'est signe de bonne santé.

Une fois rassasié, un large sourire de contentement sur le visage, et les mains sur le ventre, il peut enfin raconter sa vie au temple. Fuba a toujours soutenu son fils pour qu'il apprenne à canaliser son énergie et son agressivité, et Pazulu sait que sa maman a appris les arts martiaux lorsqu'elle était enfant. Tout comme Piros son papa qu'il ne connait que d'une photo, conservée bien précieusement par sa mère dans un joli cadre.

Alors, fiston dit son grand père, pour combien de temps es-tu là, et qu'as-tu prévu de faire ?
Fuba ne dit rien, mais il est clair qu'elle craint que son foils se soit mal comporté, et qu'il ait été renvoyé du temple. De fait, Pazulu le sait, il devra faire des devoirs de vacances, et surtout du calcul, que sa maman a préparé...