Je n'ai pas la force nécessaire pour aider dans cette entreprise de manutention, mais je peux ouvrir ou fermer la marche. Pour le moment, la priorité est de nous éloigner au plus vite.
M'avançant vers Sébastien qui semble toujours terrifié par les orcs, je le réconforte d'une parole amicale :
N'ai crainte mon jeune ami. Ces sauvages ne sont pas en mesure de nous vaincre et tu as vu comme ce sont nos armes qui ont prévalu, par deux fois déjà. Ne te laisse pas abattre et marche d'un pas alerte. Dans quelques jours, nous serons à l'abri de puissantes murailles et alerterons les seigneurs des hommes de ce que les tiens supportent depuis trop longtemps !